tunisia reader Spécial: FEMEN furor in time of censorship

06 Juin 2013

Salutations

Bonjour à tout le monde

Tout d’abord, je tiens à vous remercier pour votre soutien indéfectible et précieux dans l’intérêt tunisia reader un nouveau service à fournir au lecteur des événements mis à jour aussi connu dans la nouvelle Tunisie aux prises dès les premiers jours de la Révolution du Jasmin. Il ya beaucoup de questions et de défis, anciens et nouveaux dans les complexités d’une relativement jeune révolution et une gouvernance émergente.
Les dernières préoccupations dans les procédures judiciaires et l’impact social des affrontements ensemble vu dans le Amina Tyler Sboui, le premier tunisien FEMEN militant qui a choqué toute la Tunisie, et à l’extérieur avec des mots enflammés sur son corps nu avec les mots, ««Mon corps m’appartient…. ” qui a fortement contrasté avec la lutte à la rédaction de la nouvelle constitution pour la nouvelle Tunisie.
Dans l’angoisse sombre de la censure, cela apporte encore plus de difficultés pour ceux qui ont souffert pour leur dire, et l’indignation consomme dans les violations de préoccupation en ce qui concerne la société dans son ensemble. Apporte à sa pensée c’est la censure, et pourtant il n’est pas. Qui peut dire qu’il est d’irrégularité, l’affaire Amina Sboui ou concernant l’écriture dans des valeurs dans l’élaboration de la Constitution que le gouvernement provisoire à instituer sur toute la Tunisie. De qui le corps appartient à soi-même, ou toute la Tunisie. L’imposition sur doit être d’une réflexion approfondie, car elle affecte chaque tunisien.
L’association Femen ukrainienne est fortement de dire à Amina libre, que la nudité est purement politique et non pas une débauche. Pourtant, la Tunisie n’est pas apprécié son exposition dans les médias traditionnels, en soumettant les jeunes enfants, les femmes modestes et les hommes respectables telles manifestations voyantes à ses frais. La prolifération de la nudité, à la lumière de la nudité, va à l’encontre de ses valeurs de combat pour maintenir la famille, l’emploi, la sécurité de sa maison, l’éducation, la technologie state-of-the-art, ainsi que le droit d’expression et de nombreux autres en appuyant sur préoccupations qui existent aussi dans le monde d’aujourd’hui vulnérable.
Une Tunisie profondément affective, à partir du moment avant les débuts de la Révolution du Jasmin, le berceau profond des débuts des civilisations, passera de ses profondeurs des luttes à mener une fois de plus dans la lutte d’ le corps au coeur de la Tunisie.

Merçi pour votre temps et des présences de procéder à Le père d’Amina Tyler Sboui, Mounir Sboui parle à son coeur ~ bonne journée

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Mounir Sboui. Père et fier d’Amina

Par ELODIE AUFFRAY

Dans le café où il a ses habitudes, à Tunis, Mounir Sboui prévient tout de suite : «Si je vous parle, c’est pour aider ma fille.» Il le répète comme un leitmotiv,craint qu’une parole malvenue ne desserve sa cadette. Mais le père d’Amina, connue comme la première Femen de Tunisie, veut faire passer un message «à l’opinion internationale» : «Ma fille est innocente. C’est une gamine qui a fait une petite faute, dont moi-même et la société sommes responsables.» Il attendait que «les voix sages» du pays l’expliquent, «mais personne ne l’a fait». Alors il y va.

http://www.liberation.fr/monde/2013/06/05/mounir-sboui-pere-et-fier-d-amina_908583

Libération

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